Entrainement des Poufsouffle

...

Cédric arriva sur le terrain pour passer "l'entretien" de capitaine ainsi que batteur. Il attendait le professeur Chourave quand elle arriva.

Le professeur Chourave lui dit de décoller, et il le fit.

Il s'éleva alors dans les airs, avec sa batte. Il devait viser le goal. il visa le goal et y marqua. Les Cognards foncait dans les goals sans s'arrêtez. il marqua, marqua, sans s'arrêtez. Le professeur Chourave lui dit de se poser. Il était assez content de lui.

Le Professeur Chourave réfléchit.
- Bon très bien très bien M. Timms ... vous êtes capitaine ! annonça t-elle.
Puis elle partit avec des paroles absolument impossibles à comprendre.

Cédric était Heureux, il jouait au Quidditch, quand il dira ca a Morag. Il se dirigea alors vers les vestaires, se changea et courut dans la grande salle pour trouver Morag.

-Morag, devine quoi, je suis pris, je suis pris. Anoça-t-il joyeusement.

Tu est si étonné que ça dit-il, ça creait les yeux que tu serais pris d'ailleurs j'ai regarder ta prestation depuis les vestiaire et tu a été très bien.Dit-il en lui ajoutant un clin d'oeil.

-Arrête, ca crevais pas les yeux, J'aurais bien voulu regarder ta prestation pour le poste d'Attrapeur. Dit-il, ca aurait été génial, tu vas plutôt vite. Faudrait pas commander des balais?

Et bien je ne sais pas il faut demander a dumbledore car il me semble qu'en première année on a l'interdiction d'avoir son rpopre balais.

-Eh bien, allons le voir, il doit être dans son bureau, suis moi.

Et Il rentrèrent dans le chateau, direction, la gargouille de pierre.

Le Professeur Chourave arriva sur le terrain de Quidditch. Le temps était brumeux, un obstacle pour l'élève qui devait être batteur, pensa t elle. Elle voulait qui son équipe gagne. Elle voulait, que ses joueurs, soient préparait à ce type d'obstacle, pour pouvoir voir la coupe de plus près. Elle attendit l'élève qui mit du temps à venir. Après tout, peut être qu'elle n'avait pas fixer d'heure précise. Elle haussa les épaules et partit chercher la boite, où les cognards bougeait de plus belle. Elle alla chercher une batte, un vieux balaie de l'école, les étendirent par terre, et attendit une nouvelle fois.