Les balades intimes !

Morag et Lizee marchait sur les belles pelouses du parc, c'était un grand moment d'intimité ou le maitre mot de la situation était "silence" jusqu'à ce que Morag le rompit :

-Tu veux des chocogrenouilles ? lui dit-il l'air gêné.

Je veux bien merci...Dit Lizee tout aussi gênée que Morag. Tu crois vraiment qu'il y a un calamar géant dans le lac ? Dit elle pour rompre le silence.

Morag qui était si gêné répondit idiotement :

- Irlande

Lizee eu un petit rire et Morag sut qu'il venait de dire une bêtise et lui dit :

- Non, je ne pense pas et toi ?

Moi non plus ! Répondit-elle. Il fait beau aujourd'hui... Lizee s'en voulait intérieurement de parler de la météo alors que pendant les autres moments elle ne parlait sans cesse !

Morag ne fit pas attention à sa question et lui dit :

-Tes m...main s... sont tou...tes tr...tremblantes.Et il lui pris la main avec la sienne.

Lorsqu'il la prit Lizee arrêta de trembler et se dit qu'elle n'était qu'une triple idiote puis dit :


Et toi...c'est ta voix...Elle le regarda

Morag se sentit très idiot et s'efforça de ne pas trembler cette fois-ci :

- Oui je sais, dit-il, c'est parce que quelque chose me tracassait. Mentit celui-ci.

Oh... Je suis désolée ! Dit Lizee, ce n'est pas trop grave j'espère ? Lâcha-t-elle sans en rendre compte tout de suite.

Il se rendit compte qu'il aurait dut dire autre chose mais il se rattrapa :

- Mais non. lui dit-il, je me demandait simplement si les dragées surprise que je t'avais donné en cours était bon, lui dit-il satisfait de ce qu'il venait de lui dire.

Ils ne pouvaient que l'être ... Dit Lizee qui avait pensé tout haut.

Lizee et Morag se reprirent la main sans s'en rendre compte et Morag qui commençait à fatiguer lui dit :

- Je retourne au dortoir des Serpentards. lui dit-il, je commence a être fatigué.

Il ne voulait pas gâcher cette occasion qui se présentait devant lui et donc il lui donna un baiser sur la joue et attendait sa réaction avant de partir.

Lizee rougit.

- Pour le mot au cours de DCFM...Moi aussi...Lui répondit elle gênée en regardant ses pieds, je...Dors bien...

Morag qui commençait à ressentir de très réels sentiments pour lizee rougit a son tour et parut plus heureux que jamais ! Il lui dit au revoir avant de partir au dortoir pour dormir mais il ne réussi pas à trouver le sommeil, il pensait sans arrêt à elle.

Morag et lizee marchait sur le parc main dans la main quand morag rompit le silence et dit:
-euh tu a fait ton devoir sur le sortilège wingardium leviosa , lui demanda-t-il tout en la contemplant du regard.

Non pas encore...

Tu devrait commencer, lui suggéra-t-il,.
Morag était plus détendu que la derniére fois et cette fois-ci ses lèvres ne vint pas se poser sur la joue de lizee mais sur ces lèvres.....

Lizee parut étonnée au début puis prolongea le baiser ...

Ce fut un moment magique pour Morag qui aurait aimé que ce moment dure indéfiniment puis quand leurs lèvres se quittèrent Lizee rentra se mettreà ses devoirs de sortilège et enchantement et Morag qui avait son estomac qui criait famine alla à la grande salle en donnant une bise sur la joue de Lizee en guise d'au revoir.

Lisa attendait que Cédric, qui avait promis de venir, se montre. Quelques minutes plus tard, Lisa vit Cédric arriver.

-Salut Cédric, tu viens ?

Cédric la suivit. Ses cheveux volait dans le vent, soufflant de toute sa puissance. Il admirait sa compagne, jolie, se dit-il. Pourquoi m'inviter, moi ? Se demandait-il.

-Pourquoi m'as-tu invité ?

-Tu ne devines pas ? Eh bien, réfléchit.

Pendant un instant, Cédric crut que Lisa l'aimait, mais il se dit qu'aucune fille ne s'intéresserait à lui, comme dans son école moldu. Mais Morag lui avait démontré que Poudlard, n'était pas comme son école.

- Je crois savoir.

-Eh bien, voila ta réponse.

Elle se dirigea vers Cédric et l'enlaca étroitement.

Cédric fut surpris. Il ne se doutait pas qu'elle l'aimais. Dans son école Moldu,...Mais peu importe l'école, se dit-il. Tout ce qui comptait pour lui maintenant, c'était qu'une fille l'embrassait. Une fille qui était magnifique. Il l'embrassa aussi étroitement.

Cédric voulait que les secondes soit des heures, des heures des jours et des jours des semaines. Après quelques minutes, Lisa s'en alla. Cédric n'en croyait pas ses yeux.