Errances d'un homme seul...
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Errances d'un homme seul...
[Personne ne doit répondre à Alexandre car étant en réalité le sorcier mystérieux, les messages que je posterai avec lui décrivent son passé avant de devenir l'Ombre...]
Alexandre errait péniblement dans un champ de Moldus. Sa démarche était lourde, traînante. La vie semblait vouloir partir de son corps, si ce n'était pas déjà fait... Les blés se dressaient fièrement dans les terres cultivables et semblaient avoir le désir de toucher le ciel. Ils arrivaient jusqu'au cou de l'homme. Le soleil, astre étincelant, rayonnait de toute sa superbe aujourd'hui et la chaleur avait atteint une telle intensité que ce moi d'Avril ressemblait à un Août caniculaire... Cette chaleur torride n'empêcha point Alexandre de porter une robe, déchirée de toute part car il l'avait gardé depuis la bataille de Poudlard. En dessous de lui, la terre était toute cracquelée, signe de sécheresse.
Un aboiement retentit derrière lui, un gros chien suivait ses traces. Visiblement, les alentours étaient habités. Alexandre McFitz s'en fichait du sale cabot qui parcourait le champ afin de le trouver. Il continua de marcher, sans signe d'accélération.
Soudain, un gros Berger des Pyrénées apparut des fourrés. Alexandre sortit sa baguette et jeta le maléfice mentalement. Le chien fut pris de multiples spasmes d'une violence peu tolérable. Il n'arrêtait pas de gémir. Quand la douleur eut atteint son paroxysme le Berger des Pyrénées hurla une dernière fois puis tomba, raide mort.
Après avoir regardé le supplice éprouvé par l'animal, il continua. Quelques centaines de mètres plus loin, la raison déferla sur lui, repoussant la haine, la violence et la barbarie qui s'étaient installées précèdemment. "Qu'ai-je fait ?!" Il se stoppa net, regarda les horizons et tomba genoux à terre...
Un aboiement retentit derrière lui, un gros chien suivait ses traces. Visiblement, les alentours étaient habités. Alexandre McFitz s'en fichait du sale cabot qui parcourait le champ afin de le trouver. Il continua de marcher, sans signe d'accélération.
Soudain, un gros Berger des Pyrénées apparut des fourrés. Alexandre sortit sa baguette et jeta le maléfice mentalement. Le chien fut pris de multiples spasmes d'une violence peu tolérable. Il n'arrêtait pas de gémir. Quand la douleur eut atteint son paroxysme le Berger des Pyrénées hurla une dernière fois puis tomba, raide mort.
Après avoir regardé le supplice éprouvé par l'animal, il continua. Quelques centaines de mètres plus loin, la raison déferla sur lui, repoussant la haine, la violence et la barbarie qui s'étaient installées précèdemment. "Qu'ai-je fait ?!" Il se stoppa net, regarda les horizons et tomba genoux à terre...
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