Salle de tortures

Barty afficha une mine de stupeur avec les paroles du sorciers. Ce n'était pas n'importe qui, Barty le reconaissait ! C'était... Il ne pût rien ajouter a cause de la femme-centaure et des bruits de sabots. Elle l'enmenna dans, ce qui devait sûrement être, la "Salle de torture". La femme-Centaure ligota Barty et se dirigea vers une dague. Elle l'enfonça dans le bras de Barty de remonta jusqu'au coude. Il retint un hurlement de douleur. Il fut surpris que la femme centaure lui pose cette question.

Puisque ca t'interesse tellement de savoir qui je suis, sale hybride, je m'apelle Bartemius Lestrange. Et toi, tu es... ?

Après avoir discuté des pertes que nous avions subi, je déclarai au chef des Gobelin et au chef des Elfes de maison que nous avions un prisonnier "intéressant". Ils me sourirent tous deux, je leur rendis et nous montâmes dans la salle des tortures improvisée. Lorsque nous entrâmes, nous vîmes Elïana, la belle et indomptable centaure, qui parlait avec le prisonnier. Avec toute l'ironie dans je pouvais avoir je déclarai : "Excusez-moi, j'ai oublié de vous saluer, j'espère que vous m'en serez gré mon ami..." J'avais volontairement appuyé mon intonation sur ce mot pour accentuer l'ironie. Dans un autre lieu plus plaisant, j'aurai ajouté un sourire mais bizarrement, cela ne me plaisait pas trop de torturer un personne que je connaissais. "Elïana, pouvez-vous me rejoindre, nous aimerions discuter nous quatre". Je désignai Lamalas et le Chef des Elfes de Maison. Elle accepta mais un peu à contrecœur. D'ailleurs, je ne sais pas si c'était parce qu'elle s'amusait bien avec son prisonnier ou si elle rechignait à m'écouter même quand je n'étais méchant avec elle ou quiconque d'autre. Bartémius Lestrange étant bien gardé, nous montâmes dans une salle aménagée comme bureau où nous pourrions discuter stratégie et autre. Nous nous assîmes tous, sauf la centaure, puis j'annonçai : "Elïana, permettez-moi de vous appeler ainsi, je suis profondément navré des pertes que vous avez subies. Je tiens à vous remercier de vous être engagée dans mon combat, dans notre combat !" J'étais sincère avec elle et après la bataille nous porterons un deuil solennel aux morts pendant cet escarmouche. Elle me répondit :

"Nous porterons le deuil demain mais d'abord nous devons retourner voir notre ami Bartémius... Comment avez-vous dit ? Lestrange c'est ça ?" Elle opina du chef et les autres généraux acquièscèrent. "Eh bien allons-y alors !" Dis-je avec un semblant d'entousiasme. En montant je murmurai : "J'ai toujours pensé qu'il finirait là-dedans..."P Nous montâmes pendant plusieurs longues minutes, la prison d'Azkaban était beaucoup - et c'était peu dire - plus grande que l'extérieur, la magie était surement à l'oeuvre...Plus nous montions, plus nous apercevions de cellules, certaines toute petite et insalubre et d'autres étaient beaucoup mieux rangés et un peu plus spacieuses. Néanmoins, le sentiment de propreté n'était pas du tout présent. Je pensai que les cellules les plus "propres" étaient occupées par des hommes qui n'avaient pas perdu soit le goût à la vie, soit qui avait encore la raison humaine.

Je sortai de mes rêveries quand nous fûmes dans la salle de l'ancien Serpentard. Je sortai ma baguette magique : elle était assez longue, de plus de 30 centimètres et était en boix de chêne. De belles fioritures, ajoutées par mes soins au cours de mes années scolaires, l'ornaient et la paraient joliement. J'avançai vers lui, la mine menaçante quand je vis Elïana, la fougueuse centaure qui trépignait d'impatience. Alors je prononçai délicatement : "Si vous tenez vraiment à le faire vous même allez-y ma chère". La haine qu'elle lui vouait égalait mon admiration face à la centure. En effet, le fait de venger des êtres disparus me tenait à coeur et je voyais que c'était de même avec Elïana.
"Mr. Lestrange, Le Ministère sait-il que nous nous sommes rebellés ou non ?" Si il ne répondait, la Matriarche Centaure se ferait une joie de le "forcer" à le révéler.

Barty patientait dans la Salle de torture, il attendait que l'Alliance des Orppimés revienne. Il ruminait encore quelques dizaines de minutes avant que le Gobelin, la Centaure, l'Elfe de maison et L'ombre soit revenus. *C'est dingue, il croit vraiment que je vais parler ?"

C'es ca que tu es devenu, mon vieil ennemi ? Je pensais que tu tomberais moin bas. Pourquoi t'obstiner à aider des créatures repoussante comme ces hybrides de centaures ? Et puis, pourquoi parlerais-je à des gens ignoble comme vous ?

Barty laissa echapper un grognement de douleur inaudible grâce, ou a cause, du fracas des sabots. Ceux-ci venait de lui frapepr viollement la tête et l'ex-Mangemorts la regarda avec un degout profond. Barty regardais la femme centaure se dirige vers la même dague que l'autrefois,toujours couverte du sang de Barty. Elle fit de même avec le bras gauche, mais elle ne s'arrêta pas aucoude, elle monta jusqu'a l'épaule ! Barty laissa echapper un grognement de douleur.

Tu te crois maline, sale petite garce. Tu pourrais me tuer, alors, pourquoi ne le fait tu pas ? J'ai déjà tout perdu, mon père, ma mère, ma liberté, alors, vas-y, tu me rendrais un fier service. Mais si tu n'est capable que de m'égratiner le bras, tu seras la encore longtemps, sale dechets...

C'en était beaucoup trop ! Je pointai ma baguette sur lui et dis calmement, ma détermination n'en était pas moins forte : "Endoloris !" Un éclair rouge sortit de ma baguette magique et atterrit sur Bartémius. Un cri de douleur s'échappa de ses lèvres. Honnêtement, je pense qu'il ne s'attendait pas à ça... "Je crains d'être aussi ignoble qu'eux puisque je les comprends et les soutiens... Je dois donc naturellement me venger d'une insulte, vous n'y voyez aucun inconvénient mon ami ?" Après cette réplique cinglante, je me tournai vers le Chef des Elfes de Maison "Vous avez servi au Ministère c'est ça ?" Il acquiesça et je continuai : "Donc le Ministère doit être au courant maintenant ?" Il hocha la tête de nouveau et me sourit d'un sourire carnassier. Je le lui rendis.

"Mr. Lestrange je vais vous expliquer la suite des évènements, je n'aime pas quand quelqu'un n'est pas informé. Nous allons nous occuper de vous, plus ou moins proprement, puis nous vous enverrons en vie, j'avais insisté sur ce mot, à Londres. Puis, vous transmettrez un message je vous prie : L'Alliance des Opprimés ne supportera plus les maltraitances sur les créatures magiques..."

Je lui envoyai de nouveau un sortilège de Doloris par pur plaisir. Je crains que ces années en solitaire m'ont accentué mon sadisme.

"Je dois allez prévenir nos troupes de rentrer dans la forteresse, occupez-vous de lui mais il faut qu'il puisse tenir sur ces jambes à la fin ..."

Puis je parti pour aller voir les blessés...

Elïana acquiesça aux propos de l'Ombre avec un sourire qui en disant long sur ses intention envers l'humain. Elle suivit du regard l'Ombre, puis une fois ce dernier partie elle reporta son regard sur l'autre, ignorant complètement le Gobelin et l'Elfe. Elle avait son honneur à défendre. L'homme avait seulement besoin d'utiliser ses jambes...Elle pourrait un peu "s'amuser" n'est ce pas? Elïana garda la dague avec elle. Elle adorait cette arme là. C'était très maniable et beaucoup de choses pouvaient être fait. Mais il devait être en assez bon état pour pouvoir marcher...Elle connaissait beaucoup de choses à faire.

[/!\ attention ça peut être glauque...]

Elle pouvait couper les membres comme les doigts, arracher les ongles ou encore couper les tendons des jambes. Mais à la place elle fit autre chose. Elïana se dirigea vers une coupelle qui contenait un liquide jaune translucide. Elle prit un gobelet qui était posé sur un rebord de la coupelle. La jeune centaure remplit en entier le gobelet du liquide jaunâtre. Elïana l'observa un instant avant de se rediriger vers sa "victime". Elle approcha la substance vers les blessures de l'humain et laissa tomber une bonne quantité dessus. Instantanément, Lestrange se tendit. Avec un sourire à faire froid dans le dos, Elïana expliqua.

-Du jus de citron. Je trouve ça bien qu'avec un petit fruit innocent à première vue on puisse faire si mal. Ça brûle n'est ce pas?

Dans un geste purement provocateur, elle fit glisser sa main sur le visage hanté par son emprisonnement de l'humain. Elle le contourna et se plaça derrière lui. Elïana versa le reste du jus de fruit sur l'autre bras du captif. Ce dernier contracta la mâchoire, sans aucun doute dans l'espoir de ne pas crier. Il devait savoir que ça ne ferait que trop plaisir à la femme centaure. Cette constations fit avoir un sourire narquois à Elïana. Bien que déçut qu'il ne crie pas vraiment, elle avait quand même une victoire sur l'autre. L'autre...Elle l'appelait comme ça trouvant qu'il ne valait pas la peine d'avoir un autre nom. Enfin, elle l'appelait aussi l'humain, l'homme ou par son nom tout simplement, mais elle n'allait certainement pas chercher quelque chose d'autre. Revenant au moment présent Elïana fit tourner la dague dans sa main, cherchant ce qu'elle pourrait lui faire tout en lui laissant la possibilité de marchait. Et évidemment il devait aussi pourvoir marcher...

Elïana soupira, ça lui enlevait tout de même plusieurs possibilités. Et elle n'avait pas de baguette magique. De toute façon elle n'en voulait pas. Les baguettes sont pour les sorciers et Elïana n'est pas une sorcière et ne sera jamais une sorcière. Et puis elle préférait faire souffrir avec des armes blanche. Elïana fit courir la lame de sa dague sur la joue de l'autre. Le sang s'écoula des plais pour suivre les traits carrés de son visage. Les gouttes de sang se rejoignirent sur le menton et s'écoulèrent à temps régulier pour finirent leur course sur les jambes de l'humain. Une idée germa dans son esprits parfois fertile dans ce genre de situation. La pointe de la lame glissa vers l'œil jusqu'à 2 cm de l'atteindre. De geste vif et brusque, elle la planta dedans faisant hurler de douleur l'humain. Il hurla à s'en arracher les cordes vocales.

-Silence!

En même temps qu'elle dit ses paroles, Elïana appuya ses paroles en se cabrant une nouvelle fois et donner un violant coup de sabot dans le bras gauche déjà très amoché de l'autre. On entendit un horrible craquement et un hurlement plus fort. Elle n'y était pas allé doucement. Le bras de Lestrange s'était cassé sur le coup. La centaure observa l'humain continuer et hurler sa douleur. Petit à petit les les cris se turent et l'humain prit la parole malgré la douleur qui le tenaillait.

Barty souffrait attrocement des blessures que lui faisait subir Elïana, mais il préférait l'apeller la Femme-Centaure. Elle avait du cran pour une femme, et s'amusait a faire souffrir barty. Il regarda ses genoux, ne voulant pas regarder la femme Centaure de son oeil intact et lui dit, la voix trahissant la douleur...

Ca y est, tu a fini ta torture, femme ?

Il examina ses blessures. C'était sur, maintenant, il détestait plus que tout les centaures. Du sang coulait sur ses yeux et il se sentit faible, sa vu se brouilla, et il s'évanouit...

Je rentrai enfin après une longue discussion avec un gobelin de nom de Kapec. Ce dernier me tenait responsable d'une de ses blessures superficielles. Je lui répondis qu'il pour s'estimer heureux de ne pas être mort sur le champ de bataille. Il se tut brusquement et s'en alla. *Ahhh Les Gobelins ...*.

Je remontais les escaliers très pentus. Je ne m'adapterai sans doute jamais à cet endroit, bien que nous avions tous décidé que nous en ferions notre forteresse. Mon bras me faisait extrêmement mal. Durant la bataille, un sorcier m'avait jeté un maléfice et je n'avais pas encore cicatrisé ma blessure. Du sang chaud perlait à côté d'une petite coute, récemment formée, de sang coagulé...

J'arrivai dans la cellule de notre cher Bartemius. J'espérais ne pas voir un homme mort ni presque mort mais Elïana n'était pas du même avis que moi... Je dus réprimer une envie de manifester mon mécontentement mais je ne dis que : "Je vais devoir le soigner un peu... Il est dans un piteux état..." Je sortis ma baguette et prononçai quelques sortilèges de guérison mineurs. Il cicatrisèrent ses bras (car le sang coulait trop à présent). Par contre, par pur envie et parce que je ne pouvais pas guérir son œil je laissai ce dernier dans cet état.

Nous attendions tous qu'il se réveille, ce qu'il fit quelques minutes plus tard. Je déclarai à Bartémius cette phrase qui était lourde à porter pour lui : "Vous avez le choix mon ami : je peux vous libérer mais je tuerai les autres ou sinon je vous tue tous..." J'étais conscient que ma décision était horrible mais je n'en avait que faire et d'ailleurs, les autres commandants ne me dirent rien, ils approuvaient surement. En parlant des autres, je faisais référence aux mangemorts qui étaient emprisonnés... "Alors Lestrange ?!"

Barty trouvait ignoble le comportement de l'Ombre. Allait-il laisser les autres Mangemorts périr pour sauver sa propre peaux ? Après tous, les autres étaient foux et ca ne leur ferait pas de mal de les tuer et, de toute façon, barty risquait de mourir avec l'état de ses blessures, même soigné par le sorcier. "Autant sauvé sa peau" pensa-t-il. Il sourit a son vieil ennemi d'école et répondit a sa question.

Je pense que je vais servir d'avertissement, mais ta chère centaure n'a pas trop tenu compte de tes ordres, je ne peux plus bouger mes jambes...

L'Ombre claqua des doigts et les chaines disparurent pour laisser Barty tomber par terre a la renvers. Il sentit deux bras le soutenir, mais il était trop occupé a ecouter ce que l'on lui disait...

Lorsque j'ai claqué des doigts, les chaines disparurent subitement. Elïana, qui n'avait aucune - le mot était faible - compassion pour Bartemius le saisit avec force et sans douceur de sa table de torture et le tint droit, les jambes pendantes. "Je pense que je vais servir d'avertissement, mais ta chère centaure n'a pas trop tenu compte de tes ordres, je ne peux plus bouger mes jambes..." Me dit-il. Pour tout réponse, je lui envoyai un coup de poings dans le ventre. Je n'étais pas allé fort, mais l'accumulation de souffrance le fit gémir de douleur et surement de haine. Je fis apparaitre trois fauteuils et Lamalas, l'Elfe de Maison et moi nous assîmes. Plusieurs minutes plus tard vinrent Dolohov, Macnair, Mulciber, Crabe et Goyle, tous tenus par deux Elfes. Je me levai et pointai ma baguette sur le premier "Endoloris !!" Il hurla, mais je continuais pour faire regretter son choix à Bartémius. Au bout de trentes minutes de spectacle, je fus las et je tuai le premier. Il s'écroula par terre, inanimé, lorsque je lui lançai un ultime maléfice. "A vous Elïana, ma chère..."

Elïana observa l'Ombre torturer un mangemort dont elle ignorait le nom. Et pour être franche, elle s'en fichait complètement. Pendant trente minutes le sorcier du côté de l'Alliance tortura un mangemort à coup de Doloris et autres sortilèges de magie dite noire. Après ce temps là, il lança un sortilège de couleur vert qu'elle reconnu comme l'avada kedavra. Elle connaissait ce sortilège, c'était celui là qui avait tué sa mère. Tout le monde savait qu'elle était morte, mais personne ne savait comment...Elïana éloigna ses mauvais souvenirs et se re-concentra sur le moment présent. Elle s'avança et souleva le mangemort pour qu'il tienne sur ses jambes.

[/!\ Attention, encore une fois ça risque d'être sanglant]

Une fois fait, elle tenta ce qu'elle aurait bien fait à l'autre avant mais comme il devait marcher...Elle se positionna derrière le mangemort qui, sous le coup de la folie venant de son emprisonnement, ne fit et regarda dans le vague. Elle sortie ses épées de nul part et coupa les tendons de l'humain derrière les genoux. Ce dernier hurla de douleur et tomba, ses jambes ne pouvant plus le porter. Toujours avec son épée elle coupa le pied du même homme. Le sang s'écoula à flot de la blessure mais Elïana continua. Elle coupa l'autre pied, et petit à petit remonta. Avec de la magie spécialisé envers les centaures, elle stoppa le saignement. La centaure refit pareil mais avec les mains. elle coupa les doigts, les mains, les bras etc...Une fois son œuvre terminé, le mangemort hurlant toujours autant ne ressemblait plus à rien, trempant dans son propre sang. Elïana laissa le sang couler, et le laissa se vider de son sang, agonisant.

Elïana prit un pan de la robe du mangemort qui n'était pas encore trop sale et essuya son arme. Elle lança un regard narquois envers Lestrange qui regardait son ancien camarade se vider de son sang. Avec un dernier sursaut, ce dernier mourut. Elïana rejoignit les rangs de ses camarades. Elle en avait assez fait comme ça.

Barty regardait avec dégoûts le cadavre de son anciens compagnon, plus vieux que lui, certes, mais ne s'en voulait pas de les laisser se faire tuer par L'alliance des Opprimés. Il regarda ailleurs quand Elïana fit un carnage avec le deuxième mangemorts. L'elfe de maison incendia le troisième, le quatrième fut décapité par le Gobelin et les autres furent tué par l'Ombre. L'ombre dit quelque chose que Barty ne comprit pas. Le Gobelin bâillonna et ligota les bras de Barty. Eliana le releva et le poussa jusqu'à la porte. L'Ombre passa devant, souleva Barty pour le mettre sur le dos de la Centaure qui allait sûrement le porter jusqu'à leur destination. Ils sortirent d'Azkaban et parcourir un long chemin. Arrivé a la lisière d'une forêt, l'Ombre fit descendre Barty de Eliana en le poussant pour qu'il s'écrase par terre. Le nez ensanglanté, comme le reste de son corps, l'Ombre lui dit de marcher jusqu'à ce village. Après, l'Ombre lança le sortilège d'amnésie sur Barty qui oublia l'identité de l'Ombre. Barty marcha difficilement vers le village, difficilement, mais le fit. Des silhouettes le virent et se précipitèrent pour l'aider, mais Barty tomba en avant en s'évanouissant...