Une autre journée...

Une journée ennuyeuse, comme toute les autres, c'était bel et bien la seul pensée qui pouvait occupé l'esprit de Chaotis avec un temps aussi sinistre et maussade. Il devait pourtant retourné au travail, car travail il y avait, peut être trop d'ailleurs, bien que combattre avait toujours été sa passion. Du moins, l'une de ses passions, il avait su en découvrir d'autre, et, pour certaine choses qui passionnaient beaucoup, il avait tendance à ce désintéressé.
Il entra dans sa cheminée, et, comme tout les matins, fit les gestes nécessaire pour se rendre au Hall du ministère. Une foi arrivée, l'ennui se fut plus présent encore, malgré cette foule toujours abondante. Le monde tournait toujours, lui, le regardait faire.
Toute fois, sa journée serait changer par une certaine rencontre inattendu.

Un léger sourire inhabituel se fit sentir sur le visage de Chaotis, il reconnu très vite la personne qui se tenait face à lui. Cette dernière commençait à s'en aller. Il l'appela doucement sachant très bien qu'elle l'entendrait et il transplana à côté d'elle. Il rajouta doucement:
"Reste, sa faisait longtemps."
Il resta à attendre sa réponse, il été heureux, heureux de la revoir.

L'être humain avait toujours été un grand mystère pour Chaotis, i ne se sentait à l'aise, qu'avec quelques un d'entre eux, il leur enviait cette faculté d'exprimer leur émotions aussi simplement. Évidemment, il était lui aussi humain, mais il ne possèderait jamais cette faculté, s'exprimer ne peut être désiré que par ce qui n'en sont pas capable, peut on seulement imaginer ce qu'est de n'avoir jamais connu un sens, après tout, pour ce qui les possèdent, c'est naturels, logique, basique, mais pour les autres ce qui on le désirent d'entrevoir ces perspectives hors d'atteinte, c'est une véritable passion. Chaotis ne l'a ressentait que rarement cette passion, forcément, ces sentiments ne lui était nécessaire qu'avec son frère, et se problème semblait disparaitre en sa présence, il l'avait toujours vu comme celui qui éclairait les yeux si triste d'un aveugle, et il était cet aveugle, aveugle de voir c'est si bon moment que les autres vivaient. Toute fois, avec elle, il ressentait plus que jamais cette immense passion, ce désire ardent de savoir, de partage, et par bonheur, son corps réagissait parfois normalement, un peu comme avec son frère. Il été comme une éponge sec qui qui recevait son eau tant attendu qui lui redonnerait vie et qu'il garderait sans pour autant la retenir.
Par surprise, son visage obéit, et pour la première fois depuis longtemps, il sourit, d'un sourire tout ce qu'il y a de plus naturel.
- J'ai fait une très heureuse rencontre aujourd'hui, dit-il d'un ton joyeux, surprenante, mais très agréable, et toi?

Chaotis ne savait quoi répondre, la vérité ou un bref résumé de ce qu'il devenait au niveau concret. Car au fond de lui, une seul réponse lui venait, la seul qui, d'instinct lui semblait être la vérité : "Je t'attendais". Mais, elle ne lui semblait guère appropriée. Il sentait en lui comme un certaine frustration, celle d'un homme qui se sent piégé, un certain stress, comme si sa peau s'écrasait sur lui, et son corps bouillonnait. Son stress fut tel, qui le laissa paraitre quelques instants sur son visage. Il choisit un compromis et décida de ne répondre qu'a sa deuxième question.
- Oui, je suis toujours Auror. Je ne pense pas changer, je m'y plais, et tu ne travaille pas très loin apparemment, il esquissa un sourire léger.
Il été pressé d'entendre sa réponse, inquiet et curieux, comme pour un cadeau de noël, c'était comme si dans sa réponse il pouvait s'assurer de sa présence.

PS: désolé pour l'attente, j'avais vraiment pas l'inspiration^^

Elle se senti coupable. Coupable de ne lui avoir jamais adressé la parole. D'avoir été si égoiste et immature. Elle aurait juste du lui demander et non se marteller de questions et d'hypotèses ridicules. Et maintenant qu'elle ne pouvait lui échapper, elle n'avait pas le choix. En l'écoutant attentivement et en plongeant ses yeux bleus turquoises dans les siens. Ils se fondaient parfaitement. Elle laissait tout ses sentiments parraître, lui, les cachait aux yeux de tous. Ils se complétaient.
Touchée par ses paroles, elle se senti rougir soudainement et en fut surprise.

-Oui, mais.. Je... J'ai vraiment beaucoup de boulot et... Et bien les temps ne sont pas aux rencontres et aux visites surprise il faut dire.

Sa voix avait été plus dure que voulu. Elle fronça les sourcils, se demandant pourquoi elle avait été aussi froide. Elle secoua la tête et continua.

-Désolée. Je ne voulais pas...

Mais sa voix se cassa soudain, et son regard s'embua de chaudes larmes qui refusèrent de couler.

Chaotis vit son embarras, et pour tenter de l'aider, il s'empressa de changer de sujet.

- Et, que comptes-tu faire de ta journée?

Il se sentait bien, et, pour la première fois depuis longtemps, prenait plaisir à sa conversation, il voulait qu'elle continu, peu importe la façon dont elle pouvait bien tournée. C'était comme un autre monde, plus beau et plus heureux que l'autre, un rêve, si beau que l'on refuse de la quitter, sauf que se rêve était réel. Et cette réalité, c'est tout ce qui importait à Chaotis.

Bella lui était reconnaissante d'avoir changer de sujet. Mais la prit au dépourvu. Ce qu'elle comptais faire? Travailler, évidemment! Elle avait encore du pain sur la planche, et depuis le séisme en Haiti, une foule d'évènements s'étaient produits. Mais...En avait-elle vraiment envie? Non...Avait-elle le choix? Non. Certes, elle aimait son travail, elle aimait mettre les gens au courant, d'écrire pour informer les autres...Mais dans des moments pareils, elle aurait bien voulu se montrer égoiste et ne penser qu'a ce qu'elle voulait!

-Absolument rien étant donne que j'ai laisser Amandine s'occuper du bureau aujourd'hui, je passais seulement récupérer quelques papiers.. Heu.. Et toi, tu comptais faire quoi ?

Bella espérait de tout coeur qu'il ne parte pas. Elle ne voulait pas mettre fin à leur discussion, ni même détourner le regard. Tout ce qu'elle souhaitait, c'était rester près de lui, tout le temps.

Chaotis savait très bien ce qu'il comptait faire, mais le fait qu'elle lui pose cette question le poussa a réfléchir plus intensément, il comptait rester avec elle aussi longtemps qu'il la pourrait, et, lorsqu'elle désirerait s'en aller, alors il irait de son côté reprendre son travail, et ses recherches... Mais, il était évident qu'il ne dirait pas cela, en faites il venait à l'instant, en regardant au fond de ces yeux, de choisir un tout autre programme, il avait eu une révélation. Il était heureux, à l'idée même d'entrevoir son programme il était excité et impatient.
- Eh bien, je comptais peut être aller en ville, rien de bien pressant, dit il en souriant.