Cours de Métamorphose Cycle [ I ] 4/01/09

En ce jour pluvieux, le professeur Mac Gonagall entra dans la salle de classe où tous ces élèves l'attendaient. Le pluie faisait de petits bruits qui agaçaient certains élèves. Dehors, Argus Rusard sermonnait un élève sur l'utilisation de la baguette magique dans les couloirs... Le professeur Mac Gonagall se racla bruyamment la gorge pour réclamer le silence qui se fit aussitôt, tous les élèves attendait le cours avec impatience.

- Bonjour ! Après ces examens plus que satisfaisants, nous allons continuer l'Histoire de la Métamorphose. Dit annonça le professeur. Puis elle inscrivit sur le tableau son cours. Les élèves virent au fur et à mesure le cours suivant :

I ) L'art de la Métamorphose expliquée aux néophytes

I3 ) La traque féodale

Le professeur Mac Gonagall S'interrompit et dit :

- Vous savez surement qu'au Moyen-Age, tout va changer, et que les sorciers vont êtres traqués car leurs magies étaient considérées comme démoniaques. Mais en fait, ce n'est qu'une affaire de cupidité humaine, car les Moldus qui avait connaissance de la sorcellerie chez certaines personnes voulaient qu'ils les aident pour tout et n'importe quoi. Mais quand les mages refusèrent, ils inventèrent des fariboles sur le Diable et autres... Donc ces mages et sorciers se cachèrent mais certains furent découvert et envoyés sur le bûcher car ils ont été pris au dépourvu...
Nous allons étudier le niveau de Métamorphose au Moyen-Age par l'intermédiaire de récits. Comme celui-ci :

Ron leva la main
-Professeur, dans les contes de beedle le barde ils en parlent de cette traque, mais certains sorciers ne se cachent pas et sont condamnés à mort, certains arrivent à s'en sortir et d'autres meurent. Comme la sorciére dans un des contes ou un sujet du roi moldu se fait passer pour un sorcier et qu'il dit au roi qu'il peut lui apprendre à être magicien mais cela n'est pas vrai. Pendant que le roi doit faire sa démonstration, une sorciére se cache deriére lui et jete les sort à sa place. Une fausse baguette à été créé par le faux sorcier pour lui-même et le roi. Dit Ron.

Vicky écouta attentivement le Professeur. C'était un sujet qui l'interrsait donc, pour bien répondre aux questions, elle ne quitta pas des yeux le professeur. La pluie tomba et tappa sur les vitres de la salle de classe. Les bruits des Augureys avaient retentit dans les couloirs. Hagrid avait raison sur ce sujet (comme souvent). Il n'y avait plus Morag pour lançer des bouts de gomme. Cédric ne pouvait écouter le cours sans son ami de toujours. C'est comme si la classe avait pris un coup de massue.

Cédric se posa alors une question, les sorciers connaissait plein de sortilège et enchantements. Ils aurait put en utiliser particulièrement 1.
-Professeur, pourquoi les sorciers et sorcière du moyen-âge n'ont-ils pas utilisé un sortilège de Gel-Flamme? Demanda Cédric, avide de savoir.
Le professeur McGonagall le regarda. Puis, elle répondit:

- Ah Mr. Timms. Sourit t-elle. Certains sorciers l'utilisèrent ! D'ailleurs pour la classe de demain je vous demanderais de me trouver le nom de la sorcière qui était réputée pour utiliser ce sort. Vous ferez gagner des points à votre maison.
Quant à vous Mr. Weasley merci de ne pas interrompre mon cours et de dévoiler ce qui va se dérouler dans le conte ! Certaines personnes ne l'ont peut être par lus ! Je retire 1 point à Gryffondor. Puis elle reprit son cours :

- Le conte que nous allons voir est Babitty Lapina et la souche qui gloussait. Annonça t-elle. Puis le résumé du conte apparut entier sur le tableau noir.

Il y a très longtemps dans un pays fort lointain. Un roi cupide qu’il veut être le seul magicien du royaume. Mais il a deux problèmes : d’une part, il faut qu’il réunisse tous les sorciers et sorcières existants ; d’autre part, il faut qu’il apprenne la magie. Il commande une "Brigade de Chasseurs de Sorcières" et annonce aussi qu’il a besoin d’un "Professeur de Magie". Les sorciers et sorcières futés se cachent plutôt que de répondre à son appel, mais un "charlatan rusé" dénué de tout pouvoir magique obtient le poste à l’aide de quelques simples tours.

Après s’être installé dans son rôle de sorcier en chef et professeur particulier du roi, le charlatan demande de l’or pour acheter des fournitures magiques, des rubis pour créer des charmes et des coupes d’argent pour les potions. Il les amasse chez lui puis retourne au palais, sans se rendre compte que la vieille lavandière du roi, Lapina, l’a vu. Elle l’observe quand il arrache des brindilles à un arbre et les offre au roi, prétendant que ce sont des baguettes. Plein de ruse, le charlatan explique au roi que sa baguette ne marchera que lorsque "votre Majesté en sera digne".

Tous les jours, le roi et le charlatan s’exercent à la "magie", mais un matin ils entendent des rires et remarquent que Lapina les regarde depuis sa chaumière, pliée en deux de rire. Le roi, humilié et furieux, s’impatiente et exige qu’ils fassent une démonstration de vraie magie devant ses sujets le lendemain. Le charlatan désespéré prétend que c’est impossible parce qu’il doit quitter le royaume pour un long voyage, mais le roi devient soupçonneux et menace d’envoyer la Brigade à ses trousses. Emporté, le roi commande que "si qui que ce soit se moque de moi", le charlatan sera décapité. Notre roi stupide, cupide et sans magie est aussi vaniteux et manque piteusement d’assurance.

Cherchant à "décharge" sa frustration et sa colère, le charlatan rusé va tout droit chez Lapina. En regardant par la fenêtre, il voit une "petite vieille femme" assise à la table, en train de nettoyer sa baguette, pendant que les draps "se lavent tous seuls" dans une bassine. Il se rend compte que c’est une vraie sorcière, qui peut dont être à la fois la source et la solution à ses ennuis. Il lui demande de l’aide, sous menace de la dénoncer à la Brigade.

Imperturbable malgré les menaces (c’est une sorcière, après tout), Lapina sourit et accepte de faire "tout ce qui est en son pouvoir" pour aider. Le charlatan lui dit de se cacher dans un buisson et de lancer les sorts à la place du roi. Lapina accepte, mais se demande ce qui se passera si le roi essaie de lancer un sort impossible. Mais le charlatan, convaincu de sa propre intelligence et de la bêtise des autres, se moque de ses inquiétudes et déclare que les pouvoirs magiques de Lapina sont certainement bien plus puissants que tout ce dont "l’imagination de cet imbécile" pourrait rêver.

Le lendemain matin, les membres de la cour se réunissent pour voir les pouvoirs magiques du roi. Depuis la scène, le roi et le charlatan exécutent leur premier tour : ils font disparaître le chapeau d’une femme. La foule est ébahie et ne se doute pas que c’est Lapina, tapie dans un buisson, qui a lancé le sort. Pour son deuxième exploit, le roi pointe sa "brindille" vers son cheval et le fait planer dans les airs. Il regarde autour de lui, cherchant une meilleure idée pour son troisième sort, mais il est interrompu par le Capitaine de la Brigade, qui porte le corps d’un des chiens du roi, mort après avoir mangé un champignon empoisonné. Il supplie le roi de "le ramener à la vie", mais quand le roi pointe sa brindille vers le chien, rien ne se passe. Lapina sourit depuis sa cachette. Elle n’essaie même pas de lancer un sort, parce qu’elle sait qu’"aucun sortilège ne peut ressusciter les morts". La foule commence à rire, elle se doute que les deux premiers sorts étaient juste des trucs. Le roi est furieux et exige qu’on lui dise pourquoi le sort n’a pas marché. Le charlatan, fourbe et rusé, montre la cachette de Lapina et hurle qu’une "méchante sorcière" bloque les sorts. Lapina s’enfuit de son buisson et quand les Chasseurs de Sorcières lancent leurs chiens à sa poursuite, elle disparaît, laissant les chiens "aboyant et grattant la terre" en bas d’un vieil arbre. Désespéré, le charlatan crie que la sorcière s’est transformée "en pomme sauvage". Craignant que Lapina ne se retransforme en femme et révèle sa vraie nature, le charlatan demande qu’on abatte l’arbre pour tuer la sorcière.

L’arbre est abattu et la foule retourne vers le palais en poussant des cris de joie, mais un "fort gloussement" se fait entendre, provenant de la souche. Lapina, qui est une sorcière intelligente, crie qu’on ne peut pas tuer un sorcier ou une sorcière en le "coupant en deux" et pour le prouver, elle suggère qu’ils coupent en deux le professeur du roi. À ces mots, le charlatan avoue tout et supplie qu’on le pardonne. On l’enferme dans le donjon, mais Lapina n’en a pas fini avec son idiot de roi. Sa voix, qui sort toujours de la souche, proclame que ses actes ont invoqué une malédiction sur le royaume, et qu’à chaque fois que le roi fera du mal à un sorcier ou à une sorcière, il ressentira lui aussi une souffrance si insupportable qu’il "aura envie de mourir". Le roi, désespéré, se met à genoux et promet de protéger tous les sorcier et sorcières du royaume ; il les autorise à faire de la magie. Contente, mais complètement satisfaite, la souche glousse de nouveau et exige qu’une statue de Lapina y soit érigée pour rappeler "sa propre stupidité" au roi. Le "roi honteux" promet qu’un sculpteur créera une statue en or massif, et il retourne au palais avec sa cour. Enfin, un "vieux gros lapin" sort par un trou sous la souche en sautillant, une baguette dans les dents et quitte le royaume. La statue en or reste sur la souche à tout jamais, et les sorciers et sorcières du royaume ne furent plus jamais persécutés.

- Que pouvez-vous me dire alors ? Demanda Minerva Mac Gonagall

Voyant qu'aucun élève de daignait lever la main, elle choisit un élève au hasard.

- Mmmm ... Mr. Timms, Qu'avez vous à dire sur l'attitude du roi ? Demanda t-elle avide de savoir ce qu'allait dire le Poufsouffle.

Cédric réfléchit quelques instants que le professeur lui laissa volontiers... Pendant ce temps, elle accorda un bref coup d'œil au fenêtres de la pièce. Il neigeait ! De gros flocons se posaient sur les rebords des fenêtres et Rusard, qui passait par là, avait les cheveux tous blancs ... Mais après ce bref changement de sujet, elle regarda à nouveau Mr Timms qui semblait perdu dans ces pensées ... Elle souriait dans sa tête ce qui ne se reflétait pas du tout sur son visage, elle savait cacher ses émotions. Puis Cédric se lança timide :

Cédric ne le savait pas. Mais, voyant le regard du professeur McGonagall, finit par dire, dans la plus grande insouciance :
-Il a été ignoble de tuer tous les sorciers et sorcières du royaume. Dit Cédric, le regard pensif, qui avait répondu "n'importe" comment.

- Ce n'est point cela Mr. Timms. Dit le professeur Mc Gonagall d'un ton mi-amusé mi- réprobateur. Le roi est un personnage assez complexe, car il désire que tous les sorciers du royaume soient châtiés mais il souhaite avoir le mage le plus puissant pour s'exercer ... Vous devez vous douter qu'aucun véritable sorcier n'est venu pour la bonne est simple raison qu'il ne sont pas idiots et inattentifs comme Miss Poliakoff ! Dit t-elle en haussant sa voix, pleines de reproches envers la Poufsouffle qui ne faisait que de regarder à travers la fenêtre. Ce qu'il s'y passait était, en réalité, très tentant à regarder car Rusard courait pour attraper un élève de 6ème année et glissa sur une petite plaque de verglas qui s'était formée comme par magie ... Le professeur parla un peu plus fort pour captiver l'auditoire et continua :

- Maintenant, j'aimerais savoir comment fait Mlle Babitty pour échapper à sa peine ? Vous vous douterez qu'il y a un rapport avec mon cours. Dit t-elle avec évidence. Puis elle jeta un bref regard sur la classe, en cherchant un élève capable savoir la réponse. au début personne n'osa parler, ni même prendre la parole. Mais les langues se délièrent peu à peu et plusieurs élèves commencèrent à gigoter pour le professeur les interroge.

Ron leva la main mais son professeur refusa de l'interroger, mais Ron, lui connaissait la réponse, il connaissait très bien même ce conte, il savait ce que Babitty avait fait; il savait qu'elle s'était transformer en souche d'arbre pour fuir sa peine de mort que lui avait infligé le roi. Il était déçu, non, c'était plus que ça, c'était comme une colère qui montait en lui, il grogna quelque chose personne ne comprit et regarda son professeur.

Lizee leva la main et dit :

Pour échapper à sa peine , Babbity étant une animagus , s'est transformée en lapin. Mais elle a fait croire au roi qu'elle s'était transformé en un arbre

- Très bien miss McEntry ! J'efface aussitôt ce qui s'est passé avec Mr. Weasley, car il avait surement la réponse, et j'ajoute 10 pointq à Gryffondor pour cette réponse. Le professeur Mc. Gonagall accorda même un sourire à Miss Entry et elle fit quelques pas distrait avant de poursuivre :

- En effet, Mlle Babitty s'est métalorphosée en petit lapin car elle était animagi. d'ailleurs nous allons voir maintenant comment transformer une personne en lapin ! annonça t-elle joyeusement. Comme ceci ! Et l'imposant bureau de noyer fut transformé en un petit lapin qui avait de petites taches brunes. Vous savez surement que vous n'allez pas tout de suite vous métamorphoser en lapin car cet art relève beacoup de maitrise c'est pourquoi nous commencerons par changer un objet en diverses bêtes puis nous verrons les animagis ! Des murmures ravis et étonnés parcourèrent la salle de classe. Bon ... Essayer de deviner la formule pour demain, le latin et autres langues anciennes pourront vous aider. Allez filez ! Dit t-elle joyeusement.